Verset mĂ©moire MoĂŻse et Aaron se rendirent ensuite auprĂšs de Pharaon, et lui dirent Ainsi parle lâEternel, le Dieu dâIsraĂ«l Laisse aller mon peuple, pour quâil cĂ©lĂšbre au dĂ©sert une fĂȘte en mon honneur » â Exode 51. Texte choisi Exode 51-16 â 61 Comme Dieu le voulait, les enfants dâIsraĂ«l crurent les signes que MoĂŻse et Aaron leur montrĂšrent. Ils furent reconnaissants de ce que lâĂternel avait vu leurs afflictions, et ils lui rendirent grĂące pour sa misĂ©ricorde. Comme nous allons le voir, Pharaon nâeut pas la mĂȘme rĂ©action quand les signes et les miracles de lâĂternel, le Dieu dâIsraĂ«l lui furent montrĂ©s. La lutte avec Pharaon commença avec la premiĂšre demande qui figure dans notre verset mĂ©moire. La rĂ©action de Pharaon Ă cette demande fut le mĂ©pris parce quâil considĂ©rait que le dieu soleil des Egyptiens Ă©tait celui qui Ă©tait puissant. Il dĂ©crĂ©ta que les IsraĂ©lites auraient dĂ©sormais Ă faire leurs briques sans lâutilisation de la paille. Les inspecteurs reçurent lâinstruction dâexiger que le nombre de briques faites chaque jour ne pouvait pas ĂȘtre infĂ©rieur ne serait-ce dâune brique. Le peuple se rĂ©pandit dans tout le pays dâEgypte, pour ramasser du chaume au lieu de paille » Exode 512. Le rĂ©sultat de cette premiĂšre demande de libertĂ© fut que leurs tĂąches furent en rĂ©alitĂ© pratiquement doublĂ©es. Leurs inspecteurs devinrent cruels ; le peuple fut battu, et mĂȘme empĂȘchĂ© de vĂ©nĂ©rer Dieu. Pharaon rĂ©pondit Vous ĂȘtes des paresseux, des paresseux ! VoilĂ pourquoi vous dites Allons offrir des sacrifices Ă lâEternel ! » Verset 17. Mais en passant par ces expĂ©riences amĂšres le peuple Ă©tait prĂ©parĂ© afin dâapprĂ©cier sa libertĂ© le jour oĂč finalement elle viendrait. Ce fut une Ă©preuve de foi, non seulement pour MoĂŻse et Aaron qui devaient affronter Pharaon, mais aussi pour tous les IsraĂ©lites. Pharaon reprĂ©sente Satan, et la terre dâEgypte reprĂ©sente sa domination du pĂ©chĂ© et de la mort sur le monde entier dans lequel lâhumanitĂ© est en esclavage. De mĂȘme, nous devrions apprĂ©cier le privilĂšge dâĂȘtre libĂ©rĂ©s de la puissance du pĂ©chĂ© et de la mort et dâĂȘtre intĂ©grĂ©s au sein de la famille de Dieu. Face Ă la demande lĂ©gitime du Dieu vivant et vrai et Ă la formidable dĂ©monstration de miracles quâil Ă©tait bien Dieu, et que MoĂŻse et Aaron Ă©taient ses reprĂ©sentants, Pharaon endurcit son cĆur. Dieu utilisa Pharaon comme un instrument en lâobligeant Ă un rĂ©sultat contre lequel il endurcit son cĆur dans son refus. Pharaon rejeta Dieu et refusa la juste obĂ©issance et ainsi sa conscience et son cĆur furent inĂ©vitablement endurcis Romains 917-24. Le peuple fut grandement troublĂ© de mĂȘme que MoĂŻse et Aaron concernant la rĂ©action de Pharaon Ă la demande de Dieu et au chĂątiment ultĂ©rieur de son peuple. Ils leur dirent Que lâEternel vous regarde, et quâil juge ! Vous nous avez rendus odieux Ă Pharaon et Ă ses serviteurs, vous avez mis une Ă©pĂ©e dans leurs mains pour nous faire pĂ©rir » Exode 521. MoĂŻse implora Dieu dans la priĂšre afin quâil lui montre ce quâil devait faire en rĂ©ponse au mal fait depuis quâil Ă©tait allĂ© auprĂšs de Pharaon afin de libĂ©rer son peuple. La rĂ©ponse Ă la premiĂšre priĂšre de MoĂŻse ne tarda pas Ă venir. Dieu voulut assurer Ă MoĂŻse quâil parviendrait Ă la dĂ©livrance de son peuple, et que rien ne pourrait sây opposer. LâEternel dit Ă MoĂŻse Tu verras maintenant ce que je ferai Ă Pharaon ; une main puissante le forcera Ă les laisser aller, une main puissante le forcera Ă les chasser de son pays » Exode 61. &AbeBookscom: Vocation n° 260 - Les signes de Dieu dans la vie par Mgr Raymond Bouchex, Vocation sacerdotale et vocation religieuse par Maurice Vidal, Education missionnaire : rĂ©ponse a l'attente des hommes et a l'appel de Dieu par Adolphe: R110550860: Octobre 1972. In-12. BrochĂ©. Bon Ă©tat, Couv. convenable, Dos satisfaisant, IntĂ©rieur frais.
d Le Coran et la Sunna Quant aux preuves de l'existence de Dieu le TrÚs Haut par le Coran et la Sunna, elles sont de deux sortes : 1/ Nous entendons et nous assistons aux réponses en faveur de ceux qui implorent le Seigneur et l'appel au secours des affligés. Ce sont là autant de signes convaincants de l'existence de Dieu. Dieu le TrÚs
Luc 532 Je ne suis pas venu appeler Ă la repentance des justes, mais des pĂ©cheurs. 1 Pierre 29 Vous, au contraire, vous ĂȘtes une race Ă©lue, un sacerdoce royal, une nation sainte, un peuple acquis, afin que vous annonciez les vertus de celui qui vous a appelĂ©s des tĂ©nĂšbres Ă son admirable lumiĂšre. Marc 217 Le Seigneur JĂ©sus a dit Ce ne sont pas ceux qui se portent bien qui ont besoin de mĂ©decin, mais les malades. Je ne suis pas venu appeler des justes, mais des pĂ©cheurs ». Matthieu 2214 Le Seigneur JĂ©sus a dit Car il y a beaucoup dâappelĂ©s, mais peu dâĂ©lus ». Actes 238-39 Pierre a dit Repentez-vous, et que chacun de vous soit baptisĂ© au nom de JĂ©sus Christ, pour le pardon de vos pĂ©chĂ©s ; et vous recevrez le don du Saint Esprit. Car la promesse est pour vous, pour vos enfants, et pour tous ceux qui sont au loin, en aussi grand nombre que le Seigneur notre Dieu les appellera ». Romains 828-30 Nous savons, du reste, que toutes choses concourent au bien de ceux qui aiment Dieu, de ceux qui sont appelĂ©s selon son dessein. Car ceux quâil a connus dâavance, il les a aussi prĂ©destinĂ©s Ă ĂȘtre semblables Ă lâimage de son Fils, afin que son Fils fĂ»t le premier-nĂ© entre plusieurs frĂšres. Et ceux quâil a prĂ©destinĂ©s, il les a aussi appelĂ©s ; et ceux quâil a appelĂ©s, il les a aussi justifiĂ©s ; et ceux quâil a justifiĂ©s, il les a aussi glorifiĂ©s. Colossiens 313-15 Supportez-vous les uns les autres, et, si lâun a sujet de se plaindre de lâautre, pardonnez-vous rĂ©ciproquement. De mĂȘme que Christ vous a pardonnĂ©, pardonnez-vous aussi. Mais par-dessus toutes ces choses revĂȘtez-vous de la charitĂ©, qui est le lien de la perfection. Et que la paix de Christ, Ă laquelle vous avez Ă©tĂ© appelĂ©s pour former un seul corps, rĂšgne dans vos coeurs. Et soyez reconnaissants. 1 Thessaloniciens 417 Car Dieu ne nous a pas appelĂ©s Ă lâimpuretĂ©, mais Ă la sanctification. 2 Pierre 13-10 Comme sa divine puissance nous a donnĂ© tout ce qui contribue Ă la vie et Ă la piĂ©tĂ©, au moyen de la connaissance de celui qui nous a appelĂ©s par sa propre gloire et par sa vertu, lesquelles nous assurent de sa part les plus grandes et les plus prĂ©cieuses promesses, afin que par elles vous deveniez participants de la nature divine, en fuyant la corruption qui existe dans le monde par la convoitise, Ă cause de cela mĂȘme, faites tous vos efforts pour joindre Ă votre foi la vertu, Ă la vertu la science, Ă la science la tempĂ©rance, Ă la tempĂ©rance la patience, Ă la patience la piĂ©tĂ©, Ă la piĂ©tĂ© lâamour fraternel, Ă lâamour fraternel la charitĂ©. Car si ces choses sont en vous, et y sont avec abondance, elles ne vous laisseront point oisifs ni stĂ©riles pour la connaissance de notre Seigneur JĂ©sus Christ. Mais celui en qui ces choses ne sont point est aveugle, il ne voit pas de loin, et il a mis en oubli la purification de ses anciens pĂ©chĂ©s. Câest pourquoi, frĂšres, appliquez-vous dâautant plus Ă affermir votre vocation et votre Ă©lection ; car, en faisant cela, vous ne broncherez jamais. 1 TimothĂ©e 612 Combats le bon combat de la foi, saisis la vie Ă©ternelle, Ă laquelle tu as Ă©tĂ© appelĂ©, et pour laquelle tu as fait une belle confession en prĂ©sence dâun grand nombre de tĂ©moins. HĂ©breux 31 Câest pourquoi, frĂšres saints, qui avez part Ă la vocation cĂ©leste, considĂ©rez lâapĂŽtre et le souverain sacrificateur de la foi que nous professons. Galates 513 FrĂšres, vous avez Ă©tĂ© appelĂ©s Ă la libertĂ©, seulement ne faites pas de cette libertĂ© un prĂ©texte de vivre selon la chair ; mais rendez-vous, par la charitĂ©, serviteurs les uns des autres. EphĂ©siens 41 Je vous exhorte donc, moi, le prisonnier dans le Seigneur, Ă marcher dâune maniĂšre digne de la vocation qui vous a Ă©tĂ© adressĂ©e. 1 Pierre 115 Mais, puisque celui qui vous a appelĂ©s est saint, vous aussi soyez saints dans toute votre conduite. Paroles de Dieu concernĂ©es Le grondement des sept tonnerres qui se produisent est le salut de ceux qui Mâaiment, qui Me dĂ©sirent avec un vrai cĆur. Ceux qui Mâappartiennent et que Jâai prĂ©destinĂ©s et choisis sont tous capables de venir sous Mon nom. Ils peuvent entendre Ma voix qui est lâappel que Dieu leur lance. Laissez ceux qui sont aux confins de la terre voir que Je suis juste, Je suis fidĂšle, Je suis tendre misĂ©ricorde, Je suis compassion, Je suis majestĂ©, Je suis un feu dĂ©vorant et, enfin, Je suis un jugement impitoyable. Chapitre 35Parrapport Ă ton rĂȘve, il nâest pas mauvais, si ta foi et ta marche avec Dieu est fidĂšle, câest un signe de la prĂ©sence permanente de Dieu avec toi et qui tâaide Ă rester fidĂšle
ï»ż-> le dĂ©sir de vivre avec JĂ©sus En priant, mĂ©ditant la Bible, vivant les sacrements, se sentir attirĂ©e par une vie de compagnonnage avec Lui. -> un Ă©lan apostolique Lâappel reçu de Dieu pousse Ă la rencontre avec les autres et Ă sâengager au service de la mission du Christ, comme Marie-Madeleine que JĂ©sus ressuscitĂ© a envoyĂ©e vers les apĂŽtres Va vers mes frĂšres⊠» -> un amour des pauvres Celui que Dieu appelle Ă son service Ă©prouve de la compassion envers celles et ceux qui souffrent, les pauvres, les Ă©trangers, celles et ceux qui ne connaissent pas le Christ. -> une joie profonde Cette allĂ©gresse est celle quâĂ©prouvaient les disciples dâEmmaĂŒs en remontant vers JĂ©rusalem, pour annoncer Ă leurs compagnons quâils avaient vu le Seigneur ressuscitĂ©. -> la paix intĂ©rieure Cette paix reçue vient confirmer la justesse de la rĂ©ponse Ă lâappel. La premiĂšre parole de JĂ©sus aprĂšs la rĂ©surrection est La paix soit avec vous ».
47- Les signes de l'amour de Dieu pour Sa crĂ©ature et l'exhortation Ă s'attacher Ă ces signes et Ă les rechercher . Dieu le TrĂšs-Haut a dit: 1. Chapitre 3 - verset 31: «Dis: «Si vous aimez rĂ©ellement Dieu, suivez-moi et Dieu vous aimera et vous pardonnera vos pĂ©chĂ©s. Dieu est infiniment absoluteur et misĂ©ricordieux». 2. Chapitre 5 - verset 54: «O vous qui avez cru! Celui Lettre ouverte aux jeunes, Pastoralia Mai 1996Quand Dieu appelleSouvent des jeunes me demandent "Comment ĂȘtes-vous devenu prĂȘtre ?" Jamais je ne parviens Ă rĂ©pondre. Ce qui mâĂ©tonne beaucoup. Un cardinal qui ne sait pas comment il est devenu prĂȘtre... NâempĂȘche, câest la vĂ©ritĂ©. Je nâai jamais Ă©tĂ© moi-mĂȘme Ă la racine de ma vocation et je ne me suis jamais dit "VoilĂ ce que je veux faire." Ce qui aurait Ă©tĂ© le cas si jâavais voulu devenir mĂ©decin. Lâimpression que jâai, câest que "cela" mâa habitĂ© Ă lâimproviste, venant de je ne sais oĂč, sans que ce soit toujours de mon goĂ»t. Quand jâĂ©tais petit, cela me tracassait et je ne pouvais mâen dĂ©faire. Une vocation fond sur vous, elle sâinstalle plus ou moins consciemment. Elle vous guette, se prĂ©sente Ă lâimproviste et, parfois, elle vous fait souffrir. Quâimportent les protestations "Pourquoi moi ? Je nâai pas envie", elle revient coup sur coup. Vous butez contre elle sans pouvoir vous en un virusPour ma part, la vocation mâa frappĂ© comme un virus, sans que je puisse faire quoi que ce soit. Câest la traduction, en langage humain, du fait que Dieu nous cherche et que câest plus fort que nous. Je suis donc incapable de dire pourquoi ni comment, car câest lui qui en est lâorigine. Il y a dans toute vocation des Ă©lĂ©ments qui font comprendre quâelle est dans lâair, que Dieu a un projet Ă notre indicesSi tu ne retrouves pas en toi tous les Ă©lĂ©ments que je vais Ă©voquer, il ne faut pas croire que tu es anormal. Ce sont quelques indices qui mâont frappĂ©. Je les ai retrouvĂ©s aussi chez dâautres. Avoir une certaine sensibilitĂ© pour des choses qui laissent les autres indiffĂ©rents. Par exemple, un goĂ»t pour la fraĂźcheur des paroles de JĂ©sus. Certaines de ses paroles ne te quittent plus. Tu les rĂ©entends toujours. "Personne nâa un plus grand amour que celui qui donne sa vie pour ses amis." De tels passages, qui ne disent pas grand chose Ă dâautres, te touchent. Quand tu tâen aperçois, il faut y prĂȘter un penchant pour lâintĂ©rioritĂ©, une tendresse particuliĂšre qui se vit en silence. Il se peut que parfois tu nâen aies pas envie, mais au plus profond de toi, cet appel revient "ArrĂȘte-toi un instant, rĂ©flĂ©chis ! Ne laisse pas passer le temps dans la dispersion." Puis tu te dis "Si je suivais une session biblique ? Si jâallais dans une abbaye ?" SubjuguĂ© par le Christ, tu tâinscris sans ĂȘtre sĂ»r dây aller. Et finalement, tu y envie de regarder plus longtemps, de rester tranquille, de prĂȘter attention Ă certaines choses et de donner du temps, par exemple, Ă une formation. Tu es content dâentendre parler quelquâun, de lire, dâentendre Ă la radio ou Ă la tĂ©lĂ©vision quelque chose de profond. "VoilĂ ce que je dois Ă©couter", penses-tu. Si cette envie te prend, fais attention, car il se passe quelque en soi un profond sentiment de "compassion" ne pouvoir accepter que des gens soient dans le malheur ou la misĂšre ; les aider, souvent dans le plus grand secret... Tout en Ă©tant mĂȘme un peu honteux Ă lâidĂ©e quâon puisse le savoir parce quâon pourrait te prendre pour un naĂŻf, un inadaptĂ© Ă ce monde-ci... Cette compassion peut sâĂ©tendre Ă ceux qui sont psychiquement malades, qui ont du mal Ă rester debout dans la vie, qui perdent lâespoir. Pouvoir les Ă©couter durant des heures, au point que tes amis te disent "Tu perds ton temps ! Il nây a rien Ă faire." Avoir une certaine dĂ©licatesse envers les enfants, les petits et les faibles, les handicapĂ©s, envers ceux qui ne peuvent pas suivre et sont exclus. Enfin - et câest lâĂ©lĂ©ment le plus profond - pouvoir compatir avec ceux qui sont ancrĂ©s dans le mal, qui sont esclaves de la drogue, de la sexualitĂ© non contrĂŽlĂ©e ; qui mĂšnent une vie superficielle, parmi les bĂȘtises et lâargent. Alors que les autres les trouvent bĂȘtes et prĂ©disent une issue fatale, tu te dis "Je ne puis manquer de compassion." Si tu as ces trois formes de compassion, avec ceux qui souffrent, avec les "petits" et avec les pĂ©cheurs, elles sont des indices que Dieu a quelque projet sur toi. Etre sensible Ă ce qui nâintĂ©resse pas la plupart des gens. Par exemple, avoir une admiration pour ceux qui vivent dans la sobriĂ©tĂ© et la pauvretĂ©, pour François dâAssise, pour ceux et celles qui se dĂ©vouent dans le tiers ou le quart monde. LĂ oĂč tout le monde prĂ©tend quâil faut avoir de lâargent pour vivre - ce qui nâest pas faux - tu te sens attirĂ© par le fait de nâavoir rien ou peu. Cela ne signifie pas encore que tu vas vivre ainsi, ni que tu en sois capable, mais tu estimes quâil sâagit lĂ dâune vie meilleure et plus profonde que beaucoup dâ en va de mĂȘme du fait de ne pas se marier. Tout le monde dit "Cela nâa pas de sens." Toi aussi, tu tâinterroges. Et tu te dis "Il y a quelque chose de beau lĂ -dedans." Cela ne signifie pas que tu es capable de vivre le cĂ©libat, mais que tu en perçois le cĂŽtĂ© merveilleux et le charme. Et je remarque quâil sâagit lĂ de quelque chose de trĂšs dĂ©licat quâon peut dĂ©truire une admiration croissante pour des gens qui sont sensibles, dociles, prĂȘts Ă Ă©couter. Ils disent souvent "oui", lĂ oĂč on dit dâeux quâils sont naĂŻfs. Tu te dis "Je nâen suis peut-ĂȘtre pas capable, mais il a raison." Il se peut que tu trouves en toi cette sensibilitĂ© aux valeurs Ă©vangĂ©liques, qui vont Ă rebrousse-poil et ne sont pas naturelles la pauvretĂ©, la chastetĂ© et lâobĂ©issance. Tous nâont pas cette sensibilitĂ©. Si tu lâas, alors un feu sâallume. Tu te dis "OĂč cela va-t-il me mener ?" Car ce nâest pas toi qui as dĂ©posĂ© ces valeurs dans ton en soi lâaudace du risque, contrairement Ă ceux qui veulent ĂȘtre assurĂ©s contre tout et ĂȘtre sĂ»rs de tout avant dâagir. Ils calculent bien, sont raisonnables, intelligents et nâont que du bon sens... Si tu ne te sens pas Ă lâaise lĂ -dedans et si tu trouves que, sans risque, la vie est mortelle, un feu sâallume et te permet dâ en soi lâamour de lâĂglise. Jâaime lâĂglise, en un temps oĂč lâon dit beaucoup de mal dâelle et oĂč, moi-mĂȘme, jâaperçois beaucoup de fautes en elle, des choses dont je souffre et qui font que je deviens dur pour elle, bien que je ne puisse mâen passer. Câest un peu ce quâon peut ressentir envers ses parents "Ils mâennuyent avec leurs manies, mais malgrĂ© tout, ce serait trĂšs triste sâils mouraient." Il arrive quâon sorte devant sa mĂšre un tas de critiques et que, le jour de son anniversaire, on mette une lettre sur son lit pour lui dire combien on lâaime ! Il en va de mĂȘme de lâĂglise. Je ne sais vraiment pas si je pourrais vivre sans elle. Câest, pour ainsi dire, un rapport "haine-amour". Quand tu Ă©prouves de tels sentiments, un feu sâallume Ă que ce que lâon aime tant - la priĂšre, les valeurs Ă©vangĂ©liques qui vont Ă rebrousse-poil, le risque, la compassion envers les souffrants, les enfants et les pĂ©cheurs - les autres lâaiment aussi. Sâattrister quand ils ne ressentent pas un tel amour et donc vouloir le partager. Parfois je suis malheureux parce que les choses que jâadmire et pour lesquelles jâai de la sympathie ne remportent pas la sympathie des autres. Je me sens alors Ă©tranger parmi eux. Au fond, je voudrais que tous soient de pareils Ă©trangers ! Etre triste quand on ne reçoit pas de rĂ©ponse et lorsque tout tombe Ă lâeau. Quand tu as cette tristesse ridicule, parce que si peu de gens la ressentent, alors un feu sâ admettre facilement ses torts et les avouer spontanĂ©ment. MĂȘme si cela ne se fait pas sans mal, je ne suis tranquille que quand jâai pu avouer que je ne suis quâun pauvre petit homme et que jâai mal fait. Ne pas se ranger parmi ceux qui disent "Je me suis trompĂ©, mais il ne faut pas quâils viennent me le dire. Je le sais dĂ©jĂ tout seul !" Venir Ă la lumiĂšreVoilĂ un certain nombre dâĂ©lĂ©ments qui ont certainement jouĂ© chez moi. Si tu les retrouves en toi, ils te feront prendre conscience que Dieu te demande peut-ĂȘtre quelque chose et quâil sâoccupe donc un peu plus de toi. Il nây a pas lĂ de quoi te vanter, mais de quoi te dire "Puis-je mettre tout cela dans le placard ?" Ou plutĂŽt "Comment mâorienter ?"Si ce nâest pas encore clair pour toi, il ne faut pas tout cacher dans lâarmoire, car tu seras malheureux et tu te diras, plus tard Je ne suis pas devenu ce que jâaurais dĂ»." Tu nâen mourras pas pour autant, mais tu garderas un petit nuage dans la tĂȘte qui te dira "Il aurait dĂ» faire beau, mais il y a du brouillard."Je tâai indiquĂ© comment des feux sâallument. Ils sont comme des Ă©toiles au firmament. Il est important de les tenir Ă lâĆil et de tâorienter Ă partir de tout cela fait "Tilt"...Supposons que tu ressentes un certain nombre de ces Ă©lĂ©ments et que tu te dises "Je ne les cacherai pas." Que faire alors ?CĂ©der Ă lâattrait de la priĂšre et du silencePlanifie dans ta vie des moments de rĂ©flexion, de mĂ©ditation, dâoraison ; profite de ce qui tâest offert, mais mets-toi aussi en recherche ; passe un jour dans une abbaye, participe Ă des sessions bibliques ; arrĂȘte-toi et brise le rythme travail-loisirs-repos. Cet appel ne peut pas mourir dans lâ Ă lâĂvangilePrends lâĂvangile et lis-en une page ou deux ; ou simplement, ouvre-le et lis ne fĂ»t-ce quâune ligne ou deux. Tu peux te rendre vulnĂ©rable Ă la parole de Dieu durant lâeucharistie, Ă lâĂ©glise ou nâimporte oĂč. Remue une phrase et les sacrements et sâengagerFrĂ©quente lâeucharistie et va confesser tes pĂ©chĂ©s. Ensuite, engage-toi sur le plan social et Ă©vangĂ©lique. Fais plus que la normale, le raisonnable, le convenable. Dis-toi Ă tout instant "Je veux faire quelque chose de plus, il faut que cela dĂ©borde." LâĂvangile parle dâune justice surabondante. JĂ©sus dit "Si tu ne fais pas ce que tout le monde fait, les paĂŻens le font aussi. OĂč se situe alors ce qui tâest propre ?" Au lieu de ne pardonner que les fautes dâinadvertance commises envers toi - une porte restĂ©e ouverte qui tâa coĂ»tĂ© un rhume - pardonne les vraies fautes intentionnelles. JĂ©sus dirait "Fais ce que tous ne font pas." Si tu dis "Je ferais juste ce quâil faut", alors tu mets ta vocation dans le placard. Rejoindre dâautresRejoins dâautres personnes qui regardent les mĂȘmes Ă©toiles au firmament pour se guider, qui ont une mĂȘme sensibilitĂ©. Si tu restes seul avec ta lampe Ă huile allumĂ©e, elle va sâĂ©teindre. On a raison de dire quâun chrĂ©tien qui est seul aujourdâhui est en danger de mort. Que ceux qui ont une vocation, quelle quâelle soit, se regroupent ; quâils se rassemblent pour prier, rĂ©flĂ©chir, lire lâĂvangile ensemble, sâencourager mutuellement et vivre lâeucharistie. Nous sommes si isolĂ©s dans le monde dĂšs que nous nous intĂ©ressons Ă Dieu et Ă lâĂvangile, que, seuls, nous ne pouvons tenir. Heureux ceux qui ont un ami, une amie ou des amis Ă qui ils peuvent parler de ces Ă quelquâunCherche de lâaide chez quelquâun de plus ĂągĂ© qui peut tâaider. Il ne faut pas nĂ©cessairement que ce soit un prĂȘtre. Ce peut lâĂȘtre, et peut-ĂȘtre de prĂ©fĂ©rence, non pas parce que le prĂȘtre est plus saint, mais parce quâil a Ă©tĂ© formĂ© pour aider les autres. Personne nâest juge dans son propre cas. Pour savoir ce que Dieu veut de toi, parle Ă quelquâun. Si tu ne parles quâĂ toi-mĂȘme, tu seras toujours dâaccord avec toi-mĂȘme. Ou bien tu te dĂ©courageras "Je suis seul Ă me poser les questions et Ă me donner les rĂ©ponses." Un interlocuteur peut tâaider et te rĂ©pondre de façon plus objective. Câest important et câest une preuve de portent en eux-mĂȘmes une vocation, mais nâen parlent jamais. Câest que le fruit nâest pas mĂ»r. Une fois quâon a le courage dâen parler, câest un signe que le fruit a mĂ»ri la pomme tombe de lâarbre dĂšs quâelle a pris assez de nâest quâĂ partir du moment oĂč une chose a Ă©tĂ© discutĂ©e avec quelquâun quâelle est authentique. Il en va de mĂȘme dans lâaveu. Aussi longtemps quâon pense "Je nâaurais pas dĂ» faire cela, je le regrette", on nâest pas encore parvenu Ă maturitĂ©. Mais lorsquâon dit Ă quelquâun "Je lâai fait et je le confesse", alors on se reconnaĂźt coupable et on est mĂ»r. Ne pas parler veut dire "Ce nâest pas encore nĂ©, mĂȘme si câest vrai." Ce nâest quâen lâexprimant que cela mouillerSi tu trouves en toi tout ce dont je viens de parler, et si tu en as parlĂ© Ă quelquâun, tu ne peux savoir si tu as la vocation que quand tu oses sauter dans le noir "Jâentre dans ce mode de vie avec intuition et jâessaie..." Il faut vraiment lâexpĂ©rimenter. Tu ne pourras jamais vĂ©rifier une vocation par correspondance !Aller voirQuand JĂ©sus appelle ses premiers disciples, il prend lâinitiative "Que cherchez-vous ?" Ils lui rĂ©pondent "MaĂźtre, oĂč habites-tu ? Donne-nous ton adresse." JĂ©sus dit "Venez et voyez !" Mais il ne donne ni adresse, ni explication. Il appelle. Ils allĂšrent et regardĂšrent, dit lâĂvangile. Et ils restĂšrent un jour. VoilĂ la vocation qui tâattend "Viens et vois !" Dix lignes plus loin dans le mĂȘme Ăvangile, Philippe rencontre NathanaĂ«l et dit "Jâai trouvĂ© JĂ©sus, le fils de Joseph de Nazareth." Il dĂ©cline sa carte dâidentitĂ© son nom, celui de son pĂšre, sa que dit NathanaĂ«l ? "Rien de bon ne peut sortir de Nazareth ! Cela nâira pas." Que fait alors Philippe ? Il reprend la mĂ©thode de JĂ©sus "Viens voir !" NathanaĂ«l va et regarde. JĂ©sus lui dit "Je te voyais assis sous le figuier avant que Philippe ne tâappelle." - "Comment as-tu pu me voir sous le figuier ?" - "Je tâai vu, dit JĂ©sus, tu es un vrai IsraĂ©lite, tu ne tâen laisses pas conter !" NathanaĂ«l abandonne la partie et dit "Seigneur, tu es le Fils de Dieu, le roi dâIsraĂ«l" Jn 1, 49. Câest la plus grande confession jamais me semble alors que le seul moyen de savoir si tu as une vocation, c'est de venir voir. Le reste n'est que prĂ©paration. Si tu y vas, des feux brilleront. Vertalingenvan het uitdrukking QUE DIEU APPELLE van frans naar nederlands en voorbeelden van het gebruik van "QUE DIEU APPELLE" in een zin met hun vertalingen: d'entre eux sont la rĂ©ponse que Dieu appelle Ă .. frans. nederlands. Vertalen. Nederlands. Français English Dansk Deutsch Español Italiano Svenska ŰčŰ±ŰšÙ ĐŃлгаŃŃĐșĐž àŠŹàŠŸàŠàŠČàŠŸ ÄeskĂœ ÎλληΜÎčÎșÎŹ SuomiToutce quâil vous demandera sera conforme Ă sa Parole. 2. Il parle au travers des circonstances. Dieu fait concourir toutes choses pour le bien de ceux qui lâaiment. Soyez attentif aux situations que vous vivez. Dieu veut peut
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| ĐĐčĐž аááșŃĐœŃÏĐŸŐżĐ” | ĐŃаŃĐŸĐș Đ·ĐžŃĐČÎżŃŃŃŃ | ĐÏĐČŃ Đ”á°ĐžŃŃáŃÏ |
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