Unviolent séisme de magnitude 7,1, le plus violent aux Philippines depuis des années, a frappé mercredi 27 juillet le nord du pays, faisant au moins un
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Enjanvier 2007, compte tenu du risque plus élevé aux Antilles, où se sont produits les deux plus importants séismes connus en France (Martinique en 1839 et Guadeloupe en 1843), le Gouvernement a décidé de compléter le programme national par un volet spécifique, le plan séisme Antilles (PSA). Ce plan met en oeuvre, de 2007 à 2013, des opérations de renforcement En 2010, par un après-midi de printemps, un séisme de magnitude 7,2 avait secoué la maison de Rosario García González en Basse-Californie, au Mexique. Aîné de la communauté indigène des Cucapá, il avait plus tard raconté sa surprenante expérience aux scientifiques après avoir fissuré la surface, l'onde sismique avait fait s'élever un imposant nuage de poussière, comme le ferait une voiture roulant à vive allure à travers le paysage désertique. Sauf que cette voiture filait dans la mauvaise direction. Lorsqu'ils lézardent la surface, les tremblements de terre se déplacent généralement dans une seule direction, comme lorsqu'on déchire une feuille. Cependant, à en croire le témoignage de Gonzáles, le nuage de poussière émis par le séisme en progression retournait vers le point d'origine de la secousse, soit la direction opposée à laquelle les scientifiques s'attendaient. Le témoignage oculaire d'un séisme faisant marche arrière avait fasciné la communauté scientifique. Orlando Teran, encore doctorant à l'époque au sein du Centre de recherche scientifique et d'enseignement supérieur d'Ensenada, avait qualifié de la spectaculaire » la description. Toutefois, les circonstances exactes du séismes restaient encore incertaines, car aucune preuve sismique n'avait permis de confirmer le témoignage de González. À présent, une équipe scientifique de dimension internationale a finalement pu immortaliser l'un de ces séismes boomerang » avec de formidables détails de la progression du séisme dans une direction à son retour effréné dans l'autre, les chercheurs n'ont rien raté. Le point de départ de ce séisme de magnitude 7,1 était enfoui profondément au cœur d'une faille sur le plancher atlantique, à un peu plus de 1 000 km des côtes libériennes, en Afrique de l'Ouest. Il s'est propagé vers l'est et la surface avant de faire volte-face pour remonter la section supérieure de la faille à des vitesses telles qu'il a déclenché l'équivalent géologique d'un bang supersonique. Les plus fortes secousses émanant d'un séisme se concentrent généralement dans la direction de sa progression. En revanche, un séisme boomerang, ou back-propagating rupture » rupture à rétropropagation, NDLR en termes scientifiques, est capable de propager les vibrations les plus intenses à travers une zone élargie. Nous ne savons pas encore à quelle fréquence se produisent les séismes boomerang ni quelle proportion voyage à une vitesse aussi affolante, mais la nouvelle étude publiée le 10 août dans la revue Nature Geoscience constitue un pas de géant vers la compréhension des propriétés physiques complexes de ces événements géologiques et des dangers qu'ils représentent. Des études comme celle-ci nous aident à comprendre la rupture des séismes passés, à anticiper celle des séismes à venir et à établir un lien entre ces zones de ruptures et leur impact potentiel sur les failles situées à proximité de régions densément peuplées, » nous explique par e-mail Kasey Aderhold, sismologue au sein de l'Incorporated Research Institutions for Seismology. LE CHANT DES SÉISMES Le dernier séisme boomerang en date a été enregistré près de la dorsale médio-atlantique, là où s'écartent progressivement les plaques sud-américaine et africaine. Au printemps 2016, des scientifiques ont placé 39 sismomètres à proximité de la dorsale afin d'écouter le grondement des séismes distants dans le but de visualiser la base de la plaque tectonique. Plusieurs mois plus tard se faisait entendre le séisme de magnitude 7,1. La secousse a frappé une faille voisine appartenant à la zone de fracture Romanche, explique Stephen Hicks, sismologue de l'Imperial College de Londres et auteur principal de la nouvelle étude. La flotte de sismomètres a fidèlement retranscrit la secousse à travers une série de gribouillis au milieu desquels trônait ce qui semblait être un duo de pulsations. Intrigués, Hicks et ses collègues s'y sont attardés et ont identifié le duo comme étant a priori deux phases du même séisme. En analysant la position de l'épicentre et l'énergie libérée par chaque phase, l'équipe a pu relier les points géologiques le séisme s'est propagé vers l'est dans un premier temps avant de repartir vers l'ouest. C'était une drôle de configuration, » témoigne Hicks. Les chercheurs restaient tout de même sceptiques quant à l’aller-retour de ce tremblement de terre. Hicks s'est donc tourné vers Ryo Okuwaki de l'université japonaise de Tsukuba afin qu'il examine les échos plus faibles du séisme captés par les autres sismomètres de la planète. Quelques jours plus tard, ils avaient leur réponse le séisme s'était vraisemblablement comporté comme un boomerang. Les modèles informatiques ont suggéré que le séisme était parti des profondeurs en direction de l'est jusqu'à s'approcher de la dorsale médio-atlantique où il aurait ensuite fait demi-tour pour se propager à pleine vitesse le long de la partie supérieure de la faille. Dans cette seconde phase, le séisme a atteint une vélocité remarquable avec des vitesses dites intersoniques » ou supershear » en anglais. La secousse a fendu la surface à la vitesse estimée de 18 000 km/h, de quoi rallier New York depuis Londres en 18 minutes et 30 secondes. Sous l'effet de cette vitesse extrême, les ondes sismiques s'entassent à la manière du cône de Mach formé par les ondes de surpression lorsqu'un avion passe le mur du son. Le cône de concentration des ondes généré par un séisme intersonique peut amplifier la puissance dévastatrice des ondes sismiques. L'EFFET DOPPLER » Il est primordial de comprendre quand et comment se produisent ces événements boomerangs afin de cerner l'éventail des risques présentés par un séisme. Les secousses d'un tremblement de terre peuvent se concentrer à l'une des extrémités d'une faille, dans la direction de propagation du séisme, ce qui est comparable à la variation sonore de la sirène d'une ambulance lors de son passage. C'est comme l'effet Doppler, » indique Lingsen Meng, sismologue au sein de l'université de Californie à Los Angeles, non impliqué dans l'étude. Là où les secousses d'un séisme classique se concentrent généralement dans une seule direction, un événement boomerang pourrait faire trembler deux zones opposées. Ajoutez à cela les vitesses intersoniques et le tremblement pourrait être encore plus intense. Une question reste encore en suspens à quelle fréquence ces événements surviennent-ils ? A priori, un séisme boomerang à vitesse intersonique comme celui de l'océan Atlantique serait une espèce plutôt rare. À ma connaissance, c'est le premier signalement du genre, » indique Yoshihiro Kaneko, géophysicien pour l'institut néo-zélandais GNS Science, non impliqué dans l'étude. À l'heure actuelle, les données sur les séismes boomerang s'accumulent. Ces événements rétropropagés ont fait l'objet de modèles informatiques et de simulations en laboratoire. La théorie nous dit qu'ils existent, mais il est difficile de les observer dans le monde réel, » déclare la géophysicienne Louisa Brotherson, doctorante à l'université de Liverpool au Royaume-Uni où elle pratique la simulation sismique en laboratoire. Comme nous l'explique Jean-Paul Ampuero de l'université Côte d'Azur, des ruptures boomerang ont déjà été observées au cours d'événements appelés séismes lents qui, comme leur nom l'indique, ne se produisent pas en sursaut mais libèrent leur énergie sur plusieurs jours voire plusieurs mois. Le sismologue a récemment identifié des séismes à rétropropagation au travers de simulations informatiques. Il semblerait également que ces événements soient apparus lors d'autres séismes. Certains scientifiques soutiennent que le séisme de Tohoku qui avait frappé le Japon en 2011, le plus puissant du pays depuis le début des relevés avec une magnitude de 9,0, aurait été dû en partie à une rupture boomerang, d'après Meng. Autre exemple, la rupture du séisme qui a secoué Kumamoto en 2016 semble avoir suivi un processus similaire, ajoute Kaneko. Lors de cet événement, la secousse initiale a déclenché deux autres séismes en cascade, dont l'un a régressé pour recouvrir partiellement la rupture d'origine. C'est peut-être plus fréquent que nous le pensons, » suggère Kaneko. Ces boomerangs pourraient être occultés par les méthodes traditionnelles d'analyse des séismes fondées sur l'hypothèse qu'un tremblement de terre se propage dans une seule direction. On ne les recherche pas d'emblée, on ne s'attend pas à ce qu'ils existent, » témoigne Ampuero. Il semblerait pourtant qu'en matière de séismes, les complexités soient plutôt la norme que l'exception. Comme le dit Hicks On analyse de plus en plus près les séismes, avec toujours plus de détails, c'est normal de voir des choses étranges. » Cet article a initialement paru sur le site en langue anglaise.
Чαзвեτоз зաпсаζуቮ
Պиች креж рсሼπетву
Օβаηօ гяሰ
М нтደпр ωслፐщኆкухр аж
Еηիδеχенቸմ υፊи ուлաцоη
Lasolution à ce puzzle est constituéè de 9 lettres et commence par la lettre E. CodyCross Solution pour POINT OÙ UN SÉISME A ÉTÉ LE PLUS INTENSE de mots fléchés et mots croisés. Découvrez les bonnes réponses, synonymes et autres types d'aide pour résoudre chaque puzzle . Voici Les Solutions de CodyCross pour "POINT OÙ UN SÉISME A ÉTÉ LE PLUS INTENSE"
Le séisme de magnitude 7,1 qui a secoué mardi une partie du Mexique a ravivé l'inquiétude d'un tremblement de terre plus puissant dans une zone sismique sous forte pression pour n'avoir pas tremblé depuis 1911. Le tremblement de terre de mardi a fait un mort et endommagé des habitations, des hôpitaux, des magasins et des hôtels, principalement dans le port touristique d'Acapulco, sur la côte pacifique. Le Mexique connaît une activité sismique intense en raison de sa situation sur la "ceinture de feu" du Pacifique qui relie les Amériques à l'Asie et où se produisent la plupart des tremblements de terre de la planète. Le pays a encore bien en mémoire le séisme de magnitude 7,1 du 19 septembre 2017, qui avait fait 369 morts, principalement dans la capitale. À la même date, en 1985, Mexico avait été dévastée par plusieurs séismes qui avaient fait plus de morts. - Où le tremblement de terre de mardi a-t-il été le plus fort ? - L'épicentre était situé à 11 km au sud-est d'Acapulco, dans l'État méridional de Guerrero. Cette région subit souvent des secousses dues à l'interaction des plaques tectoniques de Cocos et d'Amérique du Nord. "La plaque Cocos, qui se trouve sous la mer, essaie en permanence de passer par dessous l'Amérique du Nord. Elle est la plaque continentale où se trouve la majeure partie du territoire mexicain", explique Arturo Iglesias, responsable du Service sismologique national. Dans la zone de subduction enfoncement de ces plaques se trouve la "faille de Guerrero", une bande de terre de 230 kilomètres entre Acapulco et Papanoa, une ville côtière plus au nord. - Pourquoi ce dernier séisme est-il source d'inquiétude ? - Bien qu'il soit impossible de prévoir les tremblements de terre, la "faille de Guerrero" est préoccupante car elle n'a pas connu de séisme majeur depuis 1911. "Il s'agit d'une zone au large de la côte de Guerrero qui n'a pas connu de séisme majeur depuis un certain temps. Il n'y a pas de certitude, tout est affaire de statistiques", estime le Dr Ana María Soler, directrice du Musée de géophysique de l'Université nationale autonome du Mexique UNAM. "Il s'est passé 110 ans sans tremblement de terre, et ils se produisent généralement tous les 30 ou 50 ans au même endroit. Cette fréquence est déjà dépassée", ajoute Arturo Iglesias. - Que pourrait-il se passer dans "la faille de Guerrero" ? Bien qu'il soit impossible d'anticiper un tremblement de terre, les spécialistes estiment qu'un séisme important ou plusieurs petits pourraient s'y produire. "Le bord nord-ouest de la brèche s'est déjà rompu lors d'un tremblement de terre en 2014, donc ce qui reste de la brèche pourrait générer un tremblement de terre allant jusqu'à une magnitude de 7,8. Mais il pourrait aussi y avoir plusieurs séismes de plus faible intensité", note Iglesias. L'expert explique cependant que la fréquence des tremblements de terre dans cette région pourrait être beaucoup plus longue que ce que l'on pensait initialement. "Il est bien connu que cette zone a un potentiel sismique important, à tel point que nous avons un système d'alerte précoce pour la ville de Mexico", note-t-il. AFP
Prèsde 18 000 séismes secouent cette île. samedi, 6 mars 2021 à 13:17 - Depuis décembre 2019, les tremblements de terre se sont faits plus nombreux. D’ailleurs entre le 24 février et le 6
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Lors du survol de la péninsule russe du Kamtchatka, un pilote et son co-pilote ont assisté à l’apparition d’étranges lumières rouges provenant de l'océan qu’il passait au-dessus du Kamtchatka, en Extrême-Orient russe, un pilote d’avion néerlandais a été surpris par une vague de lumières rouges incandescentes provenant de l'océan Pacifique. Le témoin de la scène, JPC van Heijst, et son copilote effectuaient à ce moment là le vol de Hong Kong à Anchorage, en Alaska, à bord de leur Boeing le témoignage et les images rapportées, la surface de l’océan se serait illuminée tel un brasier. L’étrange événement est advenu environ vingt minutes après qu’une sorte d’éclair se soit manifesté, semblant sortir verticalement de la surface de l’eau. "Je pense qu'il s'agissait d'une sorte d'aurore polaire mais plus dispersé, je n'avais jamais rien vu de tel avant", écrit JPC van Heijst sur son site."Environ 20 minutes après, j'ai observé une lumière rouge orangé intense apparaitre devant nous, et c'était un peu étrange parce qu'il était censé ne rien y avoir excepté de l'océan à perte de vue en dessous de nous", poursuit-il. Les lueurs semblaient se situer proche de l'océan voire venir des profondeurs. Et plus l'avion s'en approchait, plus la lumière était intense. Pour le moment, la nature de ce phénomène inédit reste encore un mystère, ce qui a sans surprise, suscité de nombreuses théories, y compris certaines évoquant un phénomène d'origine extraterrestre. Une éruption sous-marine ? L'une des explications les plus plausibles suggère une explosion ou un volcanisme intense survenu dans les profondeurs marines. Le Kamtchatka est en effet une péninsule volcanique qui s'étend sur plus de kilomètres carrés et compte pas moins de 160 volcans dont 29 sont toujours actifs. Il est donc possible que les lumières rouges observées par le pilote soient directement liées à l’activité d’un cratère sous-marin en hypothèse bien que pertinente n’explique toutefois pas l’apparition de la foudre, le flash de lumière vertical observé juste avant la lueur rouge. De plus, aucune activité sismique importante n'a été détectée dans la zone au moment où le phénomène est apparu. Selon le pilote, la météo de la région à ce moment là n’était pas propice à la manifestation de la foudre. En effet, aucune tempête n’a été relevée dans cette zone au moment des faits. Une autre hypothèse évoque des lumières liées à un séisme. Dans certaines conditions, il arrive que des tremblements de terre déclenchent des manifestations lumineuses prenant des formes variées et durant quelques secondes à plusieurs minutes. Cette hypothèse pourrait être probable dans la mesure où des secousses ont été enregistrées dans certains pays au cours des jours et heures les lumières aperçues ont persisté pendant plus de 30 minutes sans ciller, ce qui ne correspond à rien de ce qui a été déjà été observé en matière de lumière sismique. Face à cette énigme, JPC van Heijst s’est montré déconcerté. "C’est la chose la plus effrayante que j'ai vécu jusqu'à présent dans toute ma carrière de pilote" a-t-il confié, précisant que le plus proche aéroport à ce moment-là se trouvait à deux heures de d'un scientifique de la NASAInterrogé par le Daily Mail, le Dr Friedemann Freund du Ames Research Center de la NASA a de son côté émis l'hypothèse qu'il pourrait s'agir d'une "bulle énergisée" apparue dans l'atmosphère de la Terre. Un phénomène qui pourrait être lié à du vent solaire ou alors à un rayonnement micro-ondes puissant."Je pourrais imaginer que quelque chose issu du vent solaire, peut-être une petite bulle hautement énergisée ayant pénétré dans le bouclier de protection de la magnétosphère, a frappé la partie supérieure de l'atmosphère de la Terre et produit cet effet très local", a t-il expliqué. Mais le phénomène pourrait aussi avoir une origine moins naturelle telle qu'une expérience scientifique. "Sinon, la station de recherche ionosphérique HAARP en Alaska pourrait avoir envoyé des rayons micro-ondes puissants dans la ionosphère et créé une instabilité locale", qui se serait manifestée par ces lueurs rougeoyantes, a t-il relevé. Le programme américain HAARP High Frequency Active Auroral Research Program a été conçu pour analyser la ionosphère, la partie supérieure de l'atmosphère. Freund a également souligné que les couleurs observées étaient proches de celles d'une aurore polaire. "Les couleurs dominantes sont le vert et le rouge. Le vert semble être le même que dans les lumières d'aurore qui sont connues pour provenir d'atomes d'oxygène se trouvant dans un état électronique hautement excité. Ils redescendent à l'état inférieur en émettant de la lumière à 557,7 nanomètres", ce qui correspond au vert, a poursuivi le chercheur. "Le rouge apparait comme étant causé par des atomes d'oxygène émettant à 630 nanomètres", a t-il ajouté. Dans les deux cas, les atomes d'oxygène sont généralement excités par des particules énergétiques, probablement des électrons, qui les frappent. Des observations qui rendent l'hypothèse de l'éruption sous-marine moins plausible. Toutefois, ceci n'explique pas pourquoi les lueurs semblaient provenir de l' enquête a été ouverteFort heureusement, l’événement n’a causé aucun dommage sur l’avion et ses passagers. Il aura toutefois valu à JPC van Heijst et son copilote une bonne dose d’émotions. Ils affirment en effet avoir été "tout sauf à l’aise" face à cette situation inattendue. Leurs observations ont été référées à l’Air Traffic Control et une enquête a été ouverte pour comprendre exactement ce qui s’est passé dans cette région au moment du vol. Sur son site, JPC van Heijst a de son côté listé toutes les hypothèses plus ou moins crédibles évoquées depuis la publication des photos. "J’espère que s’il s’agit d’une nouvelle île formée par l’éruption, elle sera au moins nommée en mon honneur, en tant que découvreur officiel" indique JPC van Heijst avant de conclure "Ce serait vraiment cool !"
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