Pourprendre le pouvoir en France, il faut l’épouser, la France. Il faut comprendre comment les gens pensent, sentent, aiment et espèrent. Si on ne le fait pas, on est mort. Je pense que la littérature est le lieu où, sans le savoir, on
Vous avez un proche sous l’emprise d’un manipulateur et vous essayez de lui en faire prendre conscience. Malgré toutes vos tentatives pour lui faire ouvrir les yeux, votre proche prend la défense de ce manipulateur. Cela vous semble incroyable ? Pourtant c’est une situation fréquente. L’explication, c’est que votre ami est atteint de ce qu’on appelle le Syndrome de Stockholm ». C’est vrai, si vous en avez déjà entendu parler, le terme syndrome de Stockholm » est utilisé à la base pour décrire une situation particulière qu’on retrouve dans les prises d’otages. Mais on peut le généraliser le syndrome de Stockholm » se retrouve plus généralement chez une personne victime d’un agresseur. Ici, l’agresseur c’est le manipulateur. Le syndrome de Stockholm », c’est quoi exactement ? Dans le cas d’une prise d’otages, on a constaté que les otages avaient tendance à développer certains liens avec les personnes qui les retiennent prisonniers. Ces liens, ça peut être de l’empathie ils vont se mettre à la place de leurs ravisseurs et chercher à comprendre leurs motivations… de la sympathie… ou de la contagion émotionnelle les ravisseurs vont transmettre leurs propres émotions à leurs victimes… Parce que c’est suite à une prise d’otage à Stockholm que cette expression a été inventée. On doit cette expression au psychiatre Nils Bejerot. Mais que s’est-il passé à Stockholm ? Le 23 août 1973, Jan Erik Olsson, un évadé de prison, essaye de braquer une agence de la Kreditbanken à … Stockholm. Malheureusement pour lui, les forces de l’ordre interviennent et il se retranche dans la banque. Au passage, il prend 4 employés en otage… Il obtient la libération de son compagnon de cellule, Clark Olofsson, qui peut le rejoindre. Six jours de négociation aboutissent finalement à la libération des otages. Jusque là, rien d’ extraordinaire », si on peut dire… Alors, que s’est-il passé à Stockholm, au point que l’on parle d’un Syndrome de Stockholm » ? Voici la réponse… Curieusement Les otages se sont interposés entre les forces de l’ordre et leurs ravisseurs ! Les otages ont refusé de témoigner contre leurs ravisseurs ! Au contraire, les otages ont contribué à la défense de leurs ravisseurs ! Les otages sont allés rendre visite en prison à leurs ravisseurs ! Et, chose encore plus surprenante, une des otages, Kristin, a eu une relation amoureuse avec son ravisseur Jan Erik Olsson ! Il existe d’autres exemples connus du syndrôme de Stockhom. On peut citer par exemple l’histoire de l’Autrichienne Natascha Kampusch qui a été séquestrée pendant 8 ans. Après qu’elle ait réussi à s’échapper, son ravisseur s’est suicidé Natascha Kampusch a alors déclaré qu’elle portait le deuil de son ravisseur, celui-là même qui l’avait séquestré pendant 8 ans Il faisait partie de ma vie, c’est pourquoi d’une certaine manière je porte son deuil »… Comment peut-on expliquer le syndrome de Stockholm ? L’explication, c’est que que quand une victime est coupée du monde, et affaiblie, elle développe de la confiance pour son agresseur. Puis de la gratitude. La victime perd peu à peu son sens critique. Par ailleurs, la victime agit par instinct de survie. Inconsciemment. Elle pense en effet que si elle s’attire la sympathie de son agresseur, elle pourra contrôler les émotions de celui-ci. De cette façon la victime pense se protéger peut-être que l’agresseur l’épargnera. Ce contrôle n’est en fait qu’une impression. Ce n’est pas parce que la victime se croit hors de danger, qu’elle l’est réellement. En agissant ainsi la victime se protège de l’angoisse du danger, mais pas du danger lui-même. Le danger, lui, est toujours réel. Pour que le syndrome de Stockholm puisse apparaître, il y a plusieurs conditions à réunir. Parmi lesquelles L’agresseur doit être capable de justifier ses actes aux yeux de sa victime… D’où la confusion créée par un manipulateur dans l’esprit de sa victime… ; Les victimes potentielles ne connaissent pas l’existence du syndrome de Stockholm… L’une des premières armes d’un manipulateur, c’est l’ignorance de sa victime à propos des mécanismes de manipulation A quoi ressemble le syndrome de Stockholm chez les victimes d’un manipulateur ? Dans le cas où l’agresseur est un manipulateur, celui-ci va isoler sa victime déménagement ; il fait couper les ponts avec la famille, les amis ou le travail, etc.… affaiblir sa victime en développant chez elle la peur, le doute, la confusion, la culpabilité, etc. Il pourra aller jusqu’à la priver de sommeil la réveiller en pleine nuit, etc.… faire épouser sa propre logique à sa victime une fois que sa victime sera pleine de doutes et de confusion… présenter les aides extérieures comme des agressions… En effet, dans une prise d’otage, les forces de l’ordre représentent un danger » potentiel pour les otages, dans la mesure où la relation ravisseurs-otages peut souffrir d’une intervention des forces de l’ordre… Dans le cas d’un manipulateur, un proche qui veut aider la victime représente aussi un danger potentiel… au même titre que les forces de l’ordre… De son côté, la victime va toujours chercher à satisfaire le manipulateur… épouser ses causes… le défendre… Si une personne a été victime de maltraitance pendant son enfance, elle peut avoir déjà développé le syndrome de Stockholm au cours de son enfance. Il se peut alors que le syndrome de Stockholm s’installe en elle et reste à l’âge adulte… la personne sera alors plus vulnérable et plus influençable. Pour elle, le risque de tomber dans les griffes d’un manipulateur sera plus grand… Comment aider un proche atteint du syndrome de Stockholm ? Vous pouvez informer votre proche de l’existence du syndrome de Stockholm. Les manipulateurs tirent leur force de l’ignorance des autres… Proposez-lui d’inverser la situation Et si ce que tu vis, c’était moi/Simone/Eric qui le vivait ? Qu’est-ce que tu en penserais ? Qu’est-ce que tu nous dirais ? Est-ce que tu aurais le même point de vue ?» Proposez-lui d’en parler autour de lui. Demandez-lui d’écouter les avis extérieurs pas seulement le vôtre afin de confronter son point de vue… afin de savoir ce que de l’extérieur on pense de cet agresseur et de ses agissements. Et vous ? Avez-vous un proche victime de manipulation. Refuse-t-il d’ouvrir les yeux ? Qu’avez-vous essayé ? Qu’est-ce qui a marché ? Merci de partager votre expérience, laissez un commentaire ci-dessous !
voilama fille de 18ans monte a cheval / mais ne sais pas montrer que c est elle qui doit diriger elle a eu un premier cheval et c est lui qui décidait quand il avait peur de quoi que ce soie il fesait demi tour et ma fille le laissais rentrer ( peur de sa réaction )mais sa elle ne voulais pas le reconnaitre je lui disait comment faire. de persévérer pour qu il passe( en douceur bien
ENTRETIEN - Sur plus de votants ayant participé à notre sondage web, 52% ont cité le chauffeur livreur de 46 ans parmi leurs chroniqueurs préférés du talk-show de C8. Un résultat que l’intéressé a accueilli avec enthousiasme et plusieurs jours, vous avez pu choisir vos trois chroniqueurs préférés de Touche pas à mon poste!» parmi 17 intervenants ayant marqué la saison par leur présence ou leur évolution dans l’émission. Plus de internautes ont participé à notre sondage web et c’est Raymond Aabou qui a été le plus plébiscité avec 52% des votants. Chez les nouveaux venus de la saison, la comédienne franco-américaine Béatrice Rosen s’est hissée dans la table type 2021/2022 en obtenant la sixième place 16% des votants.À lire aussiQui est Béatrice Rosen, la révélation de la saison de Touche pas à mon poste!»?À VOIR AUSSI - Valérie Benaïm Cyril Hanouna est mon mentor»Résultats du sondage Quels sont vos chroniqueurs préférés cette saison dans “Touche pas à mon poste!”? 3 choix»1 - Raymond Aabou 52% des votants2 - Guillaume Genton 36%3 - Matthieu Delormeau 33%4 - Delphine Wespiser 31%5 - Géraldine Maillet 27%6 - Béatrice Rosen 16%7 - Valérie Bénaïm 15%8 - Bertrand Deckers 14%9 - Bernard Montiel et Kelly Vedovelli 13%Le top 9 des chroniqueurs de la saison 2021/2022 de Touche pas à mon poste!» C8 montage11 - Gilles Verdez 12%12 - Benjamin Castaldi 9%13 - Isabelle Morini-Bosc 8%14 - Danielle Moreau 7%15 - Hugo Manos 6%16 - Nicolas Pernikoff et Sacha Elbaz 4%À lire aussiGéraldine Maillet, la leçon d’élégance de Touche pas à mon poste!»LE FIGARO. - Vous avez été élu chroniqueur de la saison de Touche pas à mon poste!» selon notre sondage web...Raymond AABOU. - C’est un truc de fou, les gens sont géniaux, j’adore! C’est un beau compliment pour quelqu’un comme moi qui était, au départ, un simple spectateur de l’émission. Quand je suis devenu chroniqueur, je ne pensais pas rester plus de deux semaines et me voilà aujourd’hui chroniqueur préféré des téléspectateurs. Je suis celui qui prépare le moins en amont les émissions, je réagis à l’instinct, sur l’instant. Bien d’autres comme Géraldine, Benjamin, Gilles, Guillaume, Valérie ou Matthieu ont fait de bonnes émissions cette faut-il faire pour réaliser une bonne émission» en tant que chroniqueur de TPMP»?De mon point de vue, c’est avoir un avis tranché sur chaque sujet et être dans l’humeur de l’émission. Si vous êtes présent dans les débats et que vous donnez votre point de vue sans tricher, vous faites une bonne émission. Cela n’empêche pas de faire des erreurs parfois, il m’est arrivé de douter et d’en parler avec Cyril. Du moment que j’exprime ma vérité avec mes mots, il me soutient parce qu’il veut de la vivez-vous l’après-émission lorsque vos propos ont été mal compris, comme récemment avec le débat sur le joueur du PSG Idrissa Gueye?Je l’ai très mal vécu. J’ai fait la bêtise de parler de ces gens qui disent que les PD ne sont pas normaux» et les téléspectateurs ont cru que c’était moi qui pensais cela. J’ai été critiqué, attaqué et qualifié d’homophobe. Ce qui m’a le plus attristé, c’est de recevoir des messages de personnes homosexuelles qui ont été blessées par mes propos et qui en ont pleuré. J’ai réalisé que je n’avais pas su me faire comprendre, que j’avais été maladroit. J’ai voulu répondre à Hugo Manos qui me disait que j’étais homophobe systémique en lui disant que ce n’était pas le cas et il le sait. Nous sommes dans le débat, je me suis senti attaqué et j’ai répondu avec mes tripes. Mais je me suis planté et j’apprends de mes erreurs. Le jour où je perdrai ma spontanéité, j’arrêterai “Touche pas à mon poste!” »Raymond AabouN’avez-vous pas tendance à oublier qu’il y a des caméras autour de vous et un contexte d’émission regardée par des centaines de milliers de personnes?Complètement, lorsque je suis passionné par un débat, j’oublie presque que je suis filmé. Je réponds lorsqu’on m’attaque, je réponds à Cyril lorsque je ne suis pas d’accord avec lui au point d’en oublier qu’il est l’animateur et le producteur de l’émission. Qu’il est mon patron et qu’il tient TPMP» à bout de bras depuis douze ans. Lorsque je critique la ligne éditoriale de l’émission, que je suis en désaccord avec le fait qu’on invite certaines personnes et que je quitte le plateau, je fais l’erreur d’en faire une affaire personnelle alors que ça ne me regarde pas. Ce jour-là, je me devais de respecter les choix éditoriaux et tous les gens qui ont travaillé sur l’émission. Mais le jour où je perdrai cette spontanéité, j’arrêterai TPMP».Comment arrivez-vous à concilier Touche pas à mon poste!», votre travail de chauffeur livreur et votre vie de famille?C’est très difficile de voir tes proches quand tu pars de chez toi à 4h45 le matin et que tu rentres à 22 heures le soir du lundi au vendredi. En fin de semaine, tu es tellement fatigué que la première chose que tu veux faire, c’est dormir. Avant la crise sanitaire notamment, c’était compliqué de tout concilier. Cette année, je fais quatre émissions par semaine, du lundi au jeudi. J’attends les vacances avec impatience pour en profiter au maximum avant de reprendre mes livraisons en vos proches perçoivent-ils votre carrière médiatique?Ma fille a 21 ans et mon fils a 17 ans, ils ont pris l’habitude au fil des années et ils le prennent bien. Je les protège au maximum de tout ça. J’essaye de ne pas faire trop de happenings déguisés pour éviter que mon plus jeune se fasse chambrer au lycée le lendemain. Ma famille sait que je n’ai pas changé, j’ai toujours été très sociable et je continue à prendre le temps de parler avec les gens dans la rue. Cyril Hanouna était le seul à être persuadé qu’un simple chauffeur livreur comme moi avait sa place dans “TPMP” »Raymond AabouComment aviez-vous rencontré Cyril Hanouna?J’ai toujours adoré Cyril, je le suivais depuis La Grosse Émission» sur la chaîne Comédie! et j’allais le voir sur scène quand il faisait son one-man-show devant 20 personnes. Nous avions un ami en commun, le producteur Laurent Thibault, qui a travaillé avec lui lorsqu’il a quitté RTL pour prendre la matinale de Virgin Radio. Nous avions commencé à travailler ensemble, je faisais des défis dans la rue pour Hanouna le matin». Il m’avait mis à l’essai une semaine le temps de faire mes preuves et j’étais resté quasiment toute la saison, entre septembre 2011 et avril première apparition à la télévision intervient en décembre 2015 sur C8 dans Touche pas à mon sport!»...Après la radio, Cyril m’avait promis qu’on retravaillerait ensemble. Tous les ans, il pensait à m’envoyer des messages pour me souhaiter joyeux Noël et la bonne année. On ne se voyait plus du tout mais nous gardions contact de cette manière. Et il m’a appelé un jour vers 16 heures, je rentrais chez moi après mon travail à Gennevilliers, j’étais sur l’A15 direction Cergy-Pontoise. Il m’avait demandé de faire demi-tour pour participer à l’émission. C’était complètement fou, je n’avais jamais fait de télé, je ne savais pas comment faire et je me suis retrouvé sur le plateau avec Estelle Denis déguisé avec un survêt et un bonnet à pompon sur la tête. Cyril avait décidé que je serai Raymond le supporter» au milieu de pros comme Daniel Riolo, Henri Leconte, Pierre Ménès, Dominique Grimault, Raymond Domenech... C’était lunaire! Rires.Après l’arrêt de l’émission, Cyril Hanouna vous intègre dans la bande de Touche pas à mon poste!»...J’étais venu une ou deux fois au départ mais ça ne fonctionnait pas parce que je n’osais pas, j’étais spectateur. J’étais content d’être là, je regardais les autres il y avait Thierry Moreau, Énora Malagré, Camille Combal, Jean-Luc Lemoine... Je ne servais à rien. Cyril était le seul à être persuadé que moi, simple chauffeur livreur, j’avais ma place dans l’émission, qu’il fallait que je m’impose en osant donner mon avis et il me rappelait de temps en temps. Je suis vraiment revenu dans TPMP» un an et demi plus tard après une a été le déclic de ce retour?Je suis revenu en étant déterminé à dire ce que je pense vraiment au plus profond de moi-même sans me laisser influencer par quoi que ce soit. Cyril voulait que je sois naturel et que je m’amuse. Tout doucement, je me suis lâché et j’ai appris à être moins intimidé. J’ai arrêté de préparer en amont mes sujets parce que le conducteur de l’émission sautait souvent au dernier moment, je perdais mon temps. Je mesure la chance que j’ai d’avoir deux travails et d’être dans Touche pas à mon poste!». Je continue les livraisons parce que j’ai l’impression de garder les pieds sur terre et d’être au plus près des gens. Chaque jour à 8 heures du matin, j’ai déjà serré la main et parlé à des dizaines de personnes. Je livre des bistrots et des restaurants, j’échange avec des gens de tous horizons et de nous niveaux sociaux. Je n’ai pas besoin d’Internet pour m’informer ni de Twitter pour vous appelle encore avec votre vrai prénom, Cyril?Cela me fait un bien fou quand on m’appelle Cyril, cela vient le plus souvent des gens qui me sont proches et qui me connaissent vraiment. Dans une journée, on va m’appeler 100 fois Raymond et ça me permet de savoir que j’ai affaire à des gens qui me connaissent par le biais de la télévision. Rires. Dans les coulisses de Touche pas à mon poste!», à part trois ou quatre personnes, tout le monde m’appelle Raymond. C’est mon deuxième prénom que Cyril m’a fait adopter lorsque nous avons commencé à travailler ensemble à la radio. Il ne pouvait pas y avoir deux Cyril dans la même émission. Mon seul regret est de ne pas m’être consacré à fond au football »Raymond AabouVous êtes né le 25 février 1976 à Colombes...C’est vrai, je suis resté 28 ans dans l’immeuble où j’ai grandi à la cité des Fossés Jean. J’ai trois sœurs et mes parents sont à la retraite désormais. Mon père était chauffeur livreur et ma mère est longtemps restée au foyer avant de passer des concours à 39 ans pour rentrer au ministère de l’Agriculture. Elle y a été secrétaire pendant 17 ans. Quand ma fille a eu 3 ans et que ma femme était enceinte de notre garçon, je ne voulais pas que mes enfants vivent ce que j’ai vécu. C’est un quartier qui était compliqué, il y avait de la délinquance et de la drogue. J’ai pris un crédit et j’ai acheté une maison dans l’Oise du côté de rêve était de devenir footballeur professionnel...Petit, je voulais être chauffeur livreur comme mon père tout en rêvant de football. Quand je jouais en bas de l’immeuble dans mon quartier, on me disait que j’avais un bon niveau et que je devrais aller faire des stages de détection pour intégrer un club. À 16 ans et demi, j’ai accompagné un pote à un stage du Paris Saint-Germain après ma journée de travail. Je me suis retrouvé au milieu de 200 gamins, tout le monde voulait être attaquant et je n’avais pas envie d’attendre. J’ai fait la détection au poste d’arrière gauche et j’ai tout de suite été souvenirs gardez-vous du centre de formation du PSG?J’ai passé sept années extraordinaire, ça m’a sorti de ma cité, j’ai côtoyé des enfants de toute l’Île-de-France issus de tous les milieux sociaux. J’ai croisé des footballeurs qui ont fait carrière au plus haut niveau comme Didier Domi, Jérôme Leroy, Habib Beye, Fabrice Abriel ou encore Nicolas Anelka avant son départ à Arsenal. On croisait les George Weah, Antoine Kombouaré et David Ginola à l’entraînement. Puis je suis parti en section amateurs du club. Mon seul regret est de ne pas m’être consacré à fond au football. Par fierté, j’ai voulu continuer à travailler dans la livraison pour prouver à mes parents que je pouvais gagner ma vie honnêtement et me faire plaisir avec mon argent. Le football m’a appris à être confronté à la compétition et à la concurrence, c’était une école de la que cela a été difficile de faire le deuil de votre parcours de footballeur au PSG?Non parce que c’était mon choix de m’en aller, j’avais 25 ans et cela faisait sept ans que j’étais là. Ma fille venait de naître, je me suis installé dans ma maison et j’ai joué quatre ans dans le club amateur de Chambly qui a monté les divisions pour arriver jusqu’en Ligue 2. J’ai arrêté le football à l’âge de 36 ans et c’était difficile de devoir m’y résoudre. Mais, physiquement je ne pouvais plus tenir aussi bien qu’avant.» Suivez toutes les infos de TV Magazine sur Facebook et Twitter .
Essayerde se reposer normalement avant le vol et surtout, dire dès l’embarquement, que l’on est un peu angoissé à l’idée de monter dans un avion. A proscrire : l’alcool avant et pendant tout le vol. Les effets sont décuplés et il ne calme en rien les peurs, bien au contraire.
Afin de comprendre comment la dépression est parfois invisible, nous avons demandé à ceux qui en souffrent de nous citer un exemple de chose dont les gens ne comprennent pas qu’elle est liée à la dépression. Rire de peur d'être obligée d'en pleurer. C'est la triste vérité. Bien que la plupart des gens associent la dépression avec une grande tristesse, il faut sans doute l'avoir vécue pour comprendre que cela va bien au-delà. La dépression s'exprime de bien des manières, plus ou moins évidentes. Certains ont vraiment du mal à se lever, d'autres réussissent sans problème à travailler... Chacun réagit différemment. Afin de comprendre comment la dépression est parfois invisible, nous avons demandé à ceux qui en souffrent de nous citer un exemple de chose dont les gens ne comprennent pas qu'elle est liée à la dépression. Voici ce qu'ils nous ont répondu 1. "En présence d'autres personnes, les gens ne comprennent pas que c'est à cause de la dépression que je reste sur mes gardes ou que je ne dis pas grand-chose. Ils pensent au contraire que je suis malpolie ou délibérément asociale." — Laura B. 2. "J'ai vraiment du mal à me lever. Ca me prend parfois des heures. La simple idée de prendre une douche m'accable. Si j'y parviens, j'ai besoin de me reposer. Les gens ne comprennent pas à quel point l'anxiété et la dépression sont épuisantes, comme si je me battais contre un boxeur professionnel." — Juli J. 3. "Accepter une invitation et annuler au dernier moment pour un motif quelconque alors que je suis tout simplement incapable d'y faire face. J'ai l'impression que mes amis n'ont pas vraiment envie de me voir, qu'ils le font par obligation." — Brynne L. 4. "Je me cache derrière mon téléphone. Oui, je suis accro à mon portable, mais pas comme certaines personnes. Je reste dans mon coin, je joue à des jeux ou je fais du shopping sur internet pour me distraire de mes pensées négatives. Je suis dans ma bulle." — Eveline L. 5. "Je me couche à 9 h et je ne me réveille pas avant 10 ou 11 h le lendemain matin." — Karissa D. 6. "Je m'isole, je ne fais pas tout ce dont je suis capable au travail parce que rien ne m'intéresse. Je me dévalorise sur le ton de la plaisanterie. 'Rire de peur d'être obligée d'en pleurer' est ma devise. C'est la triste vérité." — Kelly K. 7. "Si j'ai envie de parler à quelqu'un quand je suis déprimé, ce n'est pas pour qu'on s'occupe de moi mais pour qu'on me dise que je ne suis pas seule." — Tina B. 8. "Je n'aime pas les conversations téléphoniques. Je préfère les SMS. C'est moins éprouvant. Idem pour mon côté asocial. Ce n'est pas parce que je n'aime pas les gens, mais parce que je suis persuadée que personne ne peut me supporter." — Meghan B. 9. "Je surcompense au boulot. Comme je suis à l'accueil d'une salle de fitness, je me sens obligée d'avoir l'air super positive. En partant le soir, je sens que je perds pied. C'est épuisant. Mais j'ai appris à ne rien laisser paraître." — Lynda H. 10. "Je bois trop. La plupart des gens pensent que je veux jouer les boute-en-train, ou que j'aime simplement boire quelques verres. On me fait souvent des compliments à ce sujet. Mais c'est bien plus compliqué que ça." — Teresa A. 11. "Je m'enferme dans ma chambre pendant des heures, à regarder Netflix ou Hulu pour penser à autre chose, ou bien je vais sans arrêt aux toilettes ou dans une autre pièce quand il y a du monde parce que je n'arrive pas à gérer." — Kelci F. 12. "Je dis que je suis fatiguée, ou que je ne me sens pas très bien. ... Les gens ne se rendent pas compte à quel point la dépression vous affecte, aussi bien physiquement que psychologiquement." — Lauren G. 13. "Je mets du temps à répondre. Elle encombre ma pensée et je n'arrive pas à répondre aussi vite que d'habitude. Surtout quand quelqu'un me demande ce que j'ai envie de faire. Je n'ai envie de rien. Alors, je m'isole pour ne pas me retrouver dans une situation où je suis obligée de répondre, parce que ça m'épuise." — Erin W. 14. "Parfois, j'en oublie de manger. Je sens mon estomac qui gronde mais je n'ai pas la force de me lever et de me préparer quelque chose." — Kenzi I. 15. "Mon anxiété et ma dépression me poussent à rester dans mon coin quand il y a beaucoup de monde, surtout quand je ne connais pas les gens. Du coup, les gens me trouvent coincée. En fait, j'ai la trouille qu'ils ne m'apprécient pas, ou qu'ils pensent que je suis 'folle' rien qu'en me regardant..." — Hanni W. 16. "Je ne vois personne, je ne me lave plus et je réagis super mal à des choses apparemment anodines." — Jenny B. 17. "Je ne me rends pas compte immédiatement que je suis en colère, méchante ou brusque avec les gens que j'aime. J'en prends conscience après coup, et je me sens nulle d'avoir passé mes nerfs sur des gens qui n'y étaient pour rien." — Christie C. 18. "Je prévois mes vacances bien à l'avance pour éviter de passer du temps avec ma famille. C'est trop difficile pour moi, de répondre à leurs questions sur mon avenir et sur la vie. Alors, j'évite." — Aislinn G. 19. "Il y a un bordel monstre chez moi." — Cynthia H. 20. "Je n'arrête pas de participer à plein d'activités bénévoles, réunions de parents d'élèves, baby-sitting, ménage chez quelqu'un d'autre... Je multiplie les situations qui m'obligent à sortir de mon lit et de chez moi parce que si on n'a pas besoin de moi, je suis inutile." — Carleigh W. 21. "J'ai tendance à suranalyser et à vouloir tout planifier. Je veux tout faire parfaitement, et satisfaire tout le monde, même si ça me pompe toute mon énergie. Comme si l'approbation des autres allait tout arranger. Parfois, après un départ sur les chapeaux de roue, je m'épuise toute seule et je ne profite même pas de ce que j'ai mis des semaines ou des mois à organiser. Je rentre alors pendant des mois dans ma petite bulle." — Vicki G. 22. "Je souris tout le temps, même si je n'en ai pas vraiment envie, parce que j'ai l'impression que je n'ai pas le droit d'être triste quand je suis avec des gens. Je fais aussi tout ce que je peux pour rendre les autres heureux, parce que ça m'aide un peu à me sentir moins malheureuse. Et je m'isole, alors que j'aimerais voir des gens." — Wendy E. 23. "Les gens ne se rendent pas compte que je m'excuse avant même d'avoir parlé parce que je me sens trop nulle. Je n'arrête pas de m'excuser pour tout et n'importe quoi parce que j'ai l'impression de n'être rien. Les gens ne savent pas que je m'excuserais presque de respirer le même air qu'eux. Je m'excuse même quand je demande où sont les toilettes alors que ça fait déjà un moment que je me retiens. J'ai le sentiment d'être un fardeau à cause de besoins naturels que je ne contrôle pas." — Amy Y. 24. "Je néglige les tâches du quotidien, comme la lessive ou la cuisine. Je ne me nourris même pas. Ils pensent que je suis une feignante." — Rebecca R. 25. "Il m'arrive de ne parler à personne pendant des jours. Les gens ont l'impression que je fais exprès de les ignorer alors que je suis simplement perdue dans mes pensées. Je n'ai pas envie qu'ils pensent que je les rejette. Parfois, je tourne en rond et je n'arrive pas à me motiver pour faire les choses les plus élémentaires du quotidien." — Alyssa A. 26. "Les gens ne se rendent pas compte que je n'arrive pas à dire non sans me sentir coupable. J'ai besoin d'avoir une raison valable pour tout. J'imagine que c'est normal d'essayer de faire changer quelqu'un d'avis, mais les gens ne savent pas ce que ça me coûte de leur dire non. Je me sens si nulle que je culpabilise de faire passer mes envies ou mes besoins avant ceux des autres. Et puis, quand je finis par accepter, j'ai l'impression d'être une chiffe molle. C'est un cercle vicieux." — Amy Y. 27. "Je repousse ou je coupe les ponts avec tous ceux que j'aime pour éviter d'être blessée! Résultat tout le monde me trouve antipathique et asociale." — Tina R. 28. "Je vais me balader seule la nuit. Ma dépression m'empêche de dormir, et je me sens parfois submergée par mes pensées. Ces balades nocturnes m'aident à étouffer les cris qui résonnent dans ma tête." — Lynnie L. 29. "On m'a souvent accusée de ne pas 'avoir le sens de l'humour'. C'est complètement faux. Avant que la dépression ne m'envahisse, je souriais et je riais comme tout le monde. Mais après quinze ans de dépression, le côté drôle d'une blague ou d'une situation se lit rarement sur mon visage, et je l'exprime rarement pas un éclat de rire. J'apprécie l'humour, mais ça me demande vraiment trop d'efforts de l'exprimer. Je n'en ai pas la force." — Martha W. 30. "Je vis dans l'obscurité. Ca m'apaise. Les gens n'arrêtent pas de me le faire remarquer 'Pas étonnant que tu sois si déprimée, il faut faire rentrer la lumière.' L'obscurité me rassure, comme si je n'étais pas seule. En revanche, quand ça va bien, j'aime le soleil!" — Michelle T. À voir également sur Le HuffPost
Lesfemmes en pantalon ont peut-être existé dans les années 1930 et 1940, mais ce n'est que dans les années 1970 que le port du pantalon est devenu courant. Vous pouvez voir le problème ; cette jupe ne passe pas par-dessus la barre transversale. Maintenant, empêcher les femmes de faire du vélo est injuste et discriminatoire. Mais nous ne
Le contenu de cet ouvrage est édifiant sur la programmation d’un agenda défini par le Nouvel ordre mondial, agenda qui doit se dérouler avec la collaboration des idiots de service[1] », c’est-à-dire la population occidentale et celle du monde proposons de reprendre quelques phrases rapportées en 1988 et qui montrent assez clairement la programmation anticipée de ce que nous vivons actuellement Le retour du communisme1_ Certains d’entre vous vont croire que je parle de communisme, mais ce dont je parle est beaucoup plus important que le communisme ». En 1969, parler du communisme pouvait prêter à sourire. Le conférencier expliquait qu’il y avait beaucoup plus de coopération entre l’Est et l’Ouest que la plupart des gens réalisent ». Effectivement, le communisme est de retour par l’intermédiaire du crédit social à la chinoise qui implique la reconnaissance faciale des personnes, leur surveillance permanente et des restrictions de déplacement. La mise en place d’une monnaie numérique et d’un passe sanitaire électronique et identitaire sont les principales caractéristiques d’une politique mondiale et uniforme montrant la convergence de l’Est et de l’Ouest. Tout cela alors que l’Occident livre une guerre contre la Russie par pays interposé. Cette guerre n’est-elle pas artificiellement provoquée et entretenue pour instaurer ce néocommunisme en occident rajoutant à la peur provoquée par les épidémies et un risque de restriction alimentaire qui rappelle les pires années du communisme de Staline. Il est toujours intéressant de relire l’ouvrage d’Antony C. Sutton – considéré évidemment comme un conspirationniste par la presse subventionnée – intitulé Le complot de la Réserve Fédérale et l’implication du monde de la finance, de la société Skull and Bones dans le soutien au nazisme et au contrôle de la population2_ Le contrôle de la population fut réellement le point d’entrée de la conférence, suivant immédiatement l’introduction. Il mentionna que la population grossissait trop rapidement. Le nombre de personnes vivantes à n’importe quel moment sur la planète doit être limité ou nous manquerons d’espace pour vivre. Nous allons faire pousser notre propre nourriture et nous allons rejeter nos déchets sur le reste du monde pour le polluer ». Cette idéologie sera portée par le rapport du Club de Rome ou Meadows commandé en 1970. Le Club de Rome qui précède le forum de Davos est composé de la caste dominante qui impose lentement mais surement une vision mortifère de l’avenir du monde sans jamais envisager une révision des modes de production et de consommation du monde moderne. Ils s’en serviront au contraire pour justifier la limitation de la croissance démographique. Nous renvoyons le lecteur à l’ouvrage intitulé l’élimination des pauvres » qui décrit parfaitement l’articulation de l’idéologie maçonnique avec la politique internationale déployée depuis les années L’avortement ne sera plus un crime, l’avortement sera accepté comme étant la norme, et ils seront même payés par les impôts […] Si les programmes de sexe à l’école amènent plus de grossesse chez les enfants, ce ne sera pas du tout vu comme un problème ». Il n’est pas nécessaire de commenter ce passage, ces positions sont aujourd’hui la norme et l’OMS encourage l’avortement jusqu’au 9ième identitaire et crédit social à la chinoise4_Le contrôle identitaire et l’utilisation des hôpitaux pour enfermer les citoyens La nécessité de s’identifier au moment des déplacements commencera à petite échelle hôpitaux, certains commerces, mais il se développera rapidement jusqu’à inclure tout le monde, partout ». Incroyable car l’auteur nous parle ici du crédit social à la chinoise pour l’occident donc et du contrôle facial biométrique que l’on met en place en occident. L’auteur mentionne également que les hôpitaux peuvent être utilisés pour emprisonner les gens et pour le traitement de criminels, ce qui ne veut pas nécessairement dire traitement médical. A cette époque, je ne connaissais pas le terme prison psychologique comme en Union Soviétique, mais sans me rappeler tous les détails, il décrivait l’utilisation d’hôpitaux pour le traitement de malades et pour le confinement de criminels pour des raisons autres que le bien-être médical du criminel. La définition du criminel ne fut pas donnée ».Et pour cause il était impensable pour ceux qui écoutaient cette conférence que les criminels seraient les personnes non vaccinées face à une épidémie ou plusieurs épidémies puisque la variole du singe est maintenant déclarée dans 40 pays. Certains centres de confinement au Canada, en Australie, en Chine et dans d’autres pays encore sont parfois assimilés à des centres d’internement des personnes positives au Covid. Plus de prisons seront requises. Les hôpitaux pourront servir comme prisons. Certains nouveaux hôpitaux seront construits pour être adaptables en prison ». En 1969, ce discours est parfaitement incompréhensible et il l’aurait encore été il y a deux ans et thématiques et événements évoqués dans Le nouvel ordre des barbares font référence à des situations étonnement récentes qui ne peuvent laisser le lecteur indifférent. La lecture de cet ouvrage conduit à s’interroger sur les origines de l’épidémie de Covid.[1] Ce terme est celui utilisé par le Dr Richard Day en 1969 dans la conférence à laquelle a assisté le Dr Dunegan. Ce terme est repris dans la note de l’éditeur sur la version publiée par les éditions St Rémi, 2011.
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comment empêcher les gens de faire demi tour chez moi